1.12.08

C'est tellement officiel là!

Je suis fucking heureux de la vie!

Je suis fucking heureux de la vie!

Je le recopierais cent fois comme quand on était petit sans peine tellement je suis sincère en criant ces mots! Je l'aime fou et c'est officiel!

Il y a de quoi combler un homme!

Alors je peux vous répondre sans me tromper en vous jasant que je sors bien avec mon amour! C'est ridicule à quel point il n'y en a pas tant que ça à dire et à quel point je voudrais en faire l'éloge!

Que ça se sache que je suis amoureux et que je suis heureux! C'est bien tout ce que je souhaite!

Ça et abuser de lui! Mouheheheh...

-Quand on a un trésor, on en prend soin- Mon Dentiste

LOL

Ze t'm mon amour d'Alexis xxx

29.11.08

Parce qu'on tente de me faire redescendre sur Terre...

Mon Pan d'Or, je t'en supplie, j'en appelle à tes pensées. Ouvres l'une de tes boîtes pour moi, et sors en la première que tu verras. Écris-moi, mon Pan d'Or, ce que la boîte en dit, ce que la boîte me dit...

Milles lumières et milles mercis...

27.11.08

Une journée fantasmante...

J'étais bien aujourd'hui...

Mes plans ont changés de nombreuses fois, mais c'était toujours pour un bien.

*Soupir Rêveur*.

Il est tellement beau! Il est tellement doux! Tellement drôle! Une chance qu'il y a des anges comme ça sur Terre.

Avec ses petits flocons de neige qui lui remplissaient ses cheveux dehors. Ces mêmes flocons qui se posaient sur ses cils.

C'était drôle. C'était beau à voir : Il est toujours beau à voir.

Il lui arrive de me faire des compliments. J'aime ça, mais ça me rend mal-à-l'aise. Ça me rend mal-à-l'aise... Mais j'aime ça!

C'est que j'ai jamais le courage de lui renvoyer. De lui dire, à lui, toutes les quétaineries gratuites que je fais quand je parle de lui à mon p'tit monde.

Il faudrait que je lui dise, ou du moins qu'il l'apprenne, que je trouve qu'il sent bon...

Qu'avant, j'étais trop gêner pour le regarder dans les yeux parce que je trouvais ça tellement beau que j'avais peur de me perdre.

Je voudrais bien lui dire que je n'ai pas cesser de chialer à tout le monde que je m'ennuyais dans le voyage de retour en autobus vers l'école après la pièce qui s'est fait savoir, d'ailleurs, très intéressante.

Il faudrait que je lui dise que je suis bien dans ses calins, que sa main me réconforte et que sa voix m'envoûte.

Quelqu'un peut bien m'expliquer pourquoi j'aurais envie de l'avoir à mes côté drette làlà, drette now, pourquoi j'en suis malade et que j'en réssent encore tous les symptômes?

Laissez faire, je sais bien... Et je me plais à cette situation devant laquelle il aurait dû y avoir un "Il était une fois"...

-Moi-

(Et si je peux me le permettre...)

PS I love you . . .

24.11.08

La Grande Roue

"En Septembre 1960, je me retrouvai seule avec 6 enfants affamés et seulement 75 sous en poches. Les 5 garçons avaient entre 3 mois et 7ans; leur soeur avait 2 ans. Mon mari était parti. Chacun d'eux craignait sans cesse la présence de leur père.À chaque fois qu'ils entendaient le son des pneus de la voiture au contact du gravier de l'entrée, ils se précipitaient pour aller se cacher sous leurs lits.Il s'arrangeait pour laisser 15 $ par semaine pour l'épicerie il buvait le reste.

Après son départ, les enfants ne seraient plus battus mais il fallait trouver un moyen pour les nourrir et les vêtir. S'il y avait un système d'aide sociale en force dans le sud de l'Indiana à cette époque, je n'en savais absolument rien.

Un jour, j'enfilai la plus belle robe que j'avaismoi-même confectionnée, donnai un bain aux enfants et les montai à bord de la vieille Chevrolet 51 toute rouillée pour aller à la quête d'un emploi. Tous ensemble nous fîmes la tournée d'usines, magasins et restaurants de notre petite localité.Les enfants restèrent calmement dans la voiture pendant que j'essayais de convaincre un employeur que j'étais prête à apprendre et à faire n'importe quoi. Il me fallait un emploi à tout prix. Le dernier endroit que j'ai visité , à quelques milles hors de notre ville, était un arrêt de camionneur.

Il portait le nom de ' LA GRANDE ROUE.'Une vieille dame nommée Granny, propriétaire de la place, écoutait ma requête tout en jetant de temps en temps un coup d'oeil sur les enfants dans l'auto. Elle me répondit qu'elle avait besoin d'une personne pour le quart de nuit, de 11 heures à 7heures. À 65 sous de l'heure, je pouvais commencer le soir même.Je luidis de ne plus chercher.
Je retournai rapidement à la maison. J'appelai l'adolescente qui gardait les enfants des gens des environs. Je m'entendis avec elle pour qu'elle passe la nuit chez moi, qu'elle dorme sur le divan àraison d'un dollar par soir. Après une courte discussion, elle accepta. Elle pouvait arriver en pyjama puisque les enfants seraient déja au lit.


Ce soir-là moi et mes enfants remerciâmes Dieu de m'avoir aidée à trouver du travail. Après l'arrivée de la gardienne, je partis pour commencer à travailler à LA GRANDE ROUE. Le matin venu, je retournai à la maison, éveilla la gardienne pour qu'elle retourne chez elle avec un dollar puisé à même mes pourboires, soit la moitié de ce que je recevais chaque soir.

Après quelques semaines, les factures de chauffage diminuèrent mes faibles gages.Puis, les pneus usés de la vieille Chevrolet commencèrent à se dégonfler régulièrement.Je devais les souffler en allant au travail et en retournant à la maison.

Un matin d'automne, je fus surprise de trouver 4 pneus neuf sur la banquette arrière. Je me posai la question : Est-ce que des anges s'étaient installés en Indiana???

Sur ma route de retour je m'entendis avec le garagiste. En échange de l'installation des pneus, je m'engageai à f aire un bon ménage de son bureau. Notez que ça m'a pris beaucoup plus de temps à brosser son plancher que la période nécessaire pour la pose des pneus. Je travaillais maintenant 6 soirs mais c'était toujours insuffisant. Noël approchait et je savais qu'il n'y aura pas d'argent pour acheter des jouets aux enfants. Je trouvai un vieux gallon de peinture rouge et commençai à réparer et peindre de vieux jouets. Je les cachais au sous-sol afin que le Père Noël puisse livrer quelque chose le matin de Noël. Les vêtements étaient un autre problème. Je parvenais à faire de multiples réparations sur les pantalons des garçons mais fallait se rendre à l'évidence que l'on ne pouvait plus rien faire tellement ils étaient usés.

La veille de Noël, les clients réguliers, soit les camionneurs, LES FRANK, JIM et un patrouilleur du nom de JOE buvaient du café. Quelques musiciens, après un contrat à la Légion, jouaient à la machine à boule. JOE et les autres jasèrent jusqu'aux petites heures et partirent avant le lever du soleil.Lorsque vint le temps pour moi de partir, à 7 heures, le matin de Noël, je fus à nouveau surprise de voir la banquette arrière de ma vieille Chevrolet bourrée de boîtes de toutes les dimensions.

Je m'empressai d'ouvrir la portière du conducteur, je m'agenouillai sur le siège en faisant face au siège arrière. J'allongeai la main pour retirer le couvercle de la grosse boîte pour constater qu'elle était remplie de JEANS bleus de grandeur entre 2 et 10. Je pris la boîte tout près pour constater qu'elle était remplie de chemises qui accompagnaient les JEANS.Je jetai un coup d'oil à l'intérieur des autre boîtes pour constater qu'il y avait des bonbons, cacahouètes, bananes et des sacsd' épiceries.
Il y avait un énorme JAMBON avec des légumes et des patates en boîtes. Il y avait du pudding, du Jell-O, des biscuits, de la farine et des garnitures pour tartes. Il y avait un autre sac plein d'articles pour le LAVAGE et le nettoyage. Et finalement sur l'autre siège, 5 camions et une jolie poupée.

Après avoir repris mes esprits je m'empressai de me mettre en route vers la maison.
En sillonnant les rues désertes au lever du soleil du plus beau matin de Noël de ma vie, je ne pouvais m'empêcher de sangloter enremerciant DIEU. Je n'oublierai jamais la joie sur les visages de mes enfants ce matin-là.Oui, je suis certaine qu'il y avait des anges en Indiana ce décembre-là. Et ils fréquentaient LA GRANDE ROUE."


. .
J'ai enlevé la partie religieuse pour ne pas créer la discorde, cependant je perçois un message universel d'entraide et de charité, de reconnaissance et bonheur dans ce texte. C'est précisément la raison pour laquelle j'ai décidé de le diffuser sur mon blog. C'est une amie à moi, via une chaîne de lettre, qui me l'a envoyer en courriel... Il y en a des plus belles que d'autres, peu importe ce que vous direz...

Ma phrase du cours de demain...

"Je pensais souvent, avant, à quel point c'est difficile de se voir aller tellement tout passe vite, à comment j'étais quand j'étais enfant, tout innocent, mais maintenant je sais, après avoir pleuré certains coups et rie d'autres, que la vie est toujours plus belle devant, quand on sait s'y prendre avec espoir et intégrité, particulièrement lorsque nous recherchons à donner un sens à notre vie ou à la chérir et c'est précisément ce que je tente de faire à ce jour, enquêter sur mon essence, sur ce qui me fait vibrer, pour lier mes vieux souvenirs mouillés de nostalgie à mes rêves amoureux de demain et d'en faire une boucle dans le temps pour nouer, saisir et cerné le destin, mon destin, que je voudrais, finalement, ne jamais voir résolu."

22.11.08

Que fais-je?

Je suis épuisé, écoeuré, étourdis et pourtant, encore, je continue.
Je ne suis pas en mesure de poursuivre mon cours, mais je le fais quand même.

Je. Ne. Veux. Plus. Continuer. Mon. Cours. De. Moniteur.

Je vais sûrement trouver le courage et puiser la force nécessaire pour l'achever, mais vous êtes loin si vous croyez que je parviendrai à travailler comme moniteur de natation en revenant des vacances de noël. En effet, j'en ai discuté avec une sage et elle m'a fait comprendre que mes intérêts changent. Je la crois.
Elle a ajouté qu'elle ne comprenait pas comment les gens poursuivaient des projets qu'ils n'avaient plus envie de poursuivre. Suivre des cours pour avoir le mérite de l'avoir fait. Pour ma part, si je continue, c'est au moins parce que je veux mes cartes, parce qu'elles m'auront coûtés plusieurs centaines de dollars.
Ce n'est plus vraiment un dilemme dans la mesure où je suis déjà persuader que je ne me lancerai pas dans cette carrière à temps partielle pour les dix prochaines années. Je me trouverai un petit emplois coquet auprès d'un employeur sympathique qui aura le plus coquet à m'offrir.
Je ne compte pas abandonner la plage l'été par exemple! Ah! Ça non! Tout comme mon âme appartient encore à l'auditorium de la Baie-Saint-François, mon été appartient à la municipalité de Saint-Zotique. (J'exagère sans doute un peu, mais pour l'an prochain, du moins, ce sont mes intentions.)
Outre tout ça, je dois me trouver un emplois pour les vacances! J'ai bien envie de travaillé 25hrs par jour, 8 jours par semaine durant mon mois! J'aurais aimé énormément faire hôte dans un restaurant, mais les postes sont toujours bien comblés. J'irai tout de même livrer des curriculum vitaes, au cas où ils auraient besoin d'un ange sauveur comme moi!
Peu importe.
Je dois maintenant laisser l'ordinateur et mettre des efforts sur mes stages de demain. Je n'en ai pas envie. J'y arriverai peut-être même pas tellement j'ai la tête ailleurs, mais je compte faire mon possible.

21.11.08

Citation...

"Quand l'amour arrive, tu le prends et tu ne te poses pas de question..."

-Josée Brunet-

Dit mon Pan d'Or, est-ce qu'elle pourrait potentiellement prendre le chemin de la boîte à pensée?

Je suppose que je suis en amour...

Chaque fois que je le vois, j'ai toujours fucking chaud, les jambes me lâchent, mon coeur me défonce et je suis heureux le reste de ma journée.
Chaque fois que j'entend parler de lui, je rougis, je ris un coup, je deviens léger et à chaque fois que j'entend sa voix, je ne peux pas m'empêcher de fermer les yeux pour essayer de le sentir plus près...

Et quand il est là, juste sous mes yeux, les mots restent bien coincés et mon être vibre intensément, sans doute parce qu'il est trop à proximité...

Voilà! Ce sont mes symptômes...
Pensez-vous que je fais exprès d'en être malade? Pourtant, ça me fait me sentir tellement bien...

Et savez-vous ce qu'il y a de plus beau dans tout ça?

C'est que j'ai l'intention de lui dire ''Bonjour, comment ça va?'' pour la première fois...

18.11.08

Je jouïs et me réjouïs de la vie en courte-point que je me plais à mener...

Ma phrase du cours de théâtre d'aujourd'hui:

Ma mère s'est permise, pour la première fois de sa vie, un court séjour de repos bien mérité dans un hotel de son choix et depuis qu'elle est partie, malgré que j'attend impatiemment son retour à la maison après ses quelques quarante-huit heures de vacances, je me suis senti grandi, organisé et j'ai le pressentiment que je me rapproche de plus en plus d'une victoire triomphante à l'égard de la fin de session plutôt que d'un échec honteux et lamentable et c'est ça ma plus grande jouissance à ce jour.

16.11.08

OMFG!

WouhahahahahahhahahaaaaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH!

C'est tellement foutument fucking trop drôle!
C'est fucking moi sur la pointe percée en France!

J'ai déjà parlé de cette épisode!
Pour ceux qui s'en souvienne (et pour ceux qui s'en souvienne pas) : MARREZ-VOUS! XD

http://www.youtube.com/watch?v=NzYICrl_0-k

PS C'est fucking glissant... D= Pour vrai de vrai! XD

13.11.08

Dance Dance!

Oui! Depuis le temps que j'en rêve!

Je vais enfin commencer des leçons de danse! Je sais pas encore quel style je vais préférer le plus, ni à quel niveau non plus, mais je vais danser! Et, pour moi, c'est bien tout ce qui compte!

J'y suis alé hier pour voir comment c'était et je fantasme de danser avec elles depuis!

Donc, mercredi soir prochain : Je danse (au meilleur de mes capacités) avec elles dans leur cour de hip hop! Dieu seul sait ce que ça va donner, mais je suis prêt à mettre les efforts!

Oh! Et coïncidence! Ma mère est allé changer ses cheveux...

Devinez quoi!

À force de discuter, ma mère et sa coiffeuse ont découvert... Que...

Et bien, sa coiffeuse, Catherine, est en fait ma future prof de danse! Alors, Cath a aussi découvert que j'étais le fils de ma mère! (Bon, dit comme ça ça a l'air évident, mais ce qui est drôle c'est qu'elles se connaissent et qu'elles ont fait une association!)

Ahah!

Bon peu importe... Je rêvasserai jusqu'à la semaine prochaine! En attendant,
à bientôt!

xxx

11.11.08

Je sais maintenant!

C'était écrit en grosses lettres de feu caractères gras et surlignés dans le ciel, mais je fakais de pas les voir...
Maintenant il me l'a dit que c'était non. Et malgré que ce soit négatif, je suis très soulagé! Je me sens bien...
Et je me redécouvre par moi même...

Qu'est-ce que je voulais exactement? Qu'est-ce que je ressentais pour vrai? Qu'est-ce que je veux maintenant? (Jouer?) Qu'est-ce que je ressens maintenant? ([...];)

Je sais de plus en plus qui je suis dans cette phase de ma vie et je sais que rien n'arrive pour rien... Si je souffrais, je souffrais seulement parce que je le voulais bien...

Si...

Dans tous les cas, je ne souffre plus. Je suis heureux, soulagé...
Et je suis prêt pour du nouveau...

9.11.08

J'ai des poids lourds dans les yeux...

Je sais pas.

Souvent, mon regard perce loin, jusqu'au travers de l'horizon. Peut-être que c'est la fatigue... Sûrement que c'est ça. Mais je comprend pas pourquoi je serais fatigué... Je veux dire. Je regarde autour de moi et tout le monde me semble réellement occupé... J'essais de voir ce qui me rend comme ça et je trouve pas.

Je commence à connaître la pointe de mes souliers par coeur... Je sais pas.

Mais je suis quand même heureux. Juste que mes yeux sont plus lourd. Ça s'embrouille. Ça se rétréssit...

8.11.08

Video

Merci à Patrick Dion (Crick Crack? C'est plus sérieux que ça...) pour m'avoir fait découvrir cette vidéo.

http://www.youtube.com/watch?v=ZrDxe9gK8Gk

Checkez mon beau pirate!

http://tektek.org/avatar/20748543

PSYCHO

Hier soir, en marchant dans la rue avec des connaissances que j'ai croisé, je chantais tout bas un chanson dont, me semble-t-il, j'étais le seul à connaître.
Et puis... Même si c'était tout bas, on m'entendais.

J'avais l'air un peu très con.

Alors j'ai décidé de mettre un lien vers cette vidéo dans mon article, juste au cas où vous m'entendriez faire "PSYCHO HRUH! PSYCHO ARGH! PSYCHO BLEH! HRUH! ARGH! PSYCHO TEDDY!"

http://www.youtube.com/watch?v=c9jjM74-Nx0&NR=1

Les anciennes odeurs...

Luc: Tu donnes toujours l'impression d'être tellement raisonnable, tellement contrôlé... Mais moi j'sais que c'est pas vrai pis ça m'énerve.

Jean-Marc s'approche de Luc, lui tend un verre.

Jean-Marc: Prends-en un pareil ça va te faire du bien.

Il se met à genoux à côté du fauteuil de Luc. S'assoit sur ses talons. Ils boivent.

Luc: Comme dans le bon vieux temps...

Jean-Marc: Excepté que dans ce temps-là on se tenait par la main...

Silence.

Jean-Marc: Tout c'que t'arrives pas à faire pour ton père; les crises, les larmes, la morve qui coule, les yeux qui dérougissent pas pendant des semaines, je l'ai toutte fait pour toi, Luc, quand t'es partis, pis tu le sais très bien. Ça fait pas assez longtemps pour que tu l'ayes oublié. Ça m'a pris beaucoup de temps à m'en remettre pis même des fois, ça fait encore mal. C'est normal que j'aye pas envie de recommencer ça.

Silence.

Ah! j'parle pas d'amour! J'parle d'orgueil! Les peines d'orgueil durent bien plus longtemps! Quand tu t'es une fois dans ta vie traîné aux pieds de quelqu'un, tu t'arrange pour que ça se reproduise pas de sitôt. Tu te barricades. Tu deviens moins disponible. Plus... raisonnable. C'est pas vrai que chus pas raisonnable, Luc. Je le suis devenu. Par défensive. Chus foncièrement monogame, que c'est que tu veux, c'est pas ma faute, chus fait comme ça. T'en as déjà d'ailleurs largement profité ! J'aime vivre les choses avec une personne à la fois. La seule fois où j'ai pas été raisonnable avec mes sentiments, justement, c'est avec toi pis j'me suis retrouvé au bout de sept ans sur le plancher de ce qui avait été noter chambre à coucher à hurler de désespoir parce que j'avais appris que tu me trompais à droite pis à gauche pis que j'étais la seule personne en ville à pas le savoir! Ça fait que depuis ce temps-là, j'me méfie. J'continue à avoir juste un chum à la fois mais j'm'implique moins. J'espère que tu peux comprendre.

Silence.

Comme ça, si j'apprends que chus encore trompé, ça va faire moins mal.

Silence.

Chus devenu raisonnable.

Luc: Ça doit être plate par boutte!

Jean-Marc: Ta vie est-tu si excitante que ça, Luc?

Luc: En tout cas, j'me pose pas ce genre de problème-là!

Court Silence.

Jean-Marc: M'as-tu déjà aimé?

Luc, très brusquement: Oui! Oh! oui. Doutes-en jamais! J'baisais à gauche pis à droite, à la fin, c'est vrai, mais j'te trompais pas!

Jean-Marc éclate de rire.

Luc: J'avais essayé de tout t'expliquer ça avant de partir mais tu comprenais pas.

Jean-Marc: J'comprends toujours pas.

Luc: J'arrive à faire une différence entre mes sentiments pis mes désirs, c'est tout.

Jean-Marc: Tu te retrouve tout seul aussi!

Luc: C'est moi qui suis parti, Jean-Marc! Si j'avais vraiment été l'écoeurant que t'as claironné partout que j'étais pendant au moins six mois après mon départ, j's'rais resté, pis j'taurais promis de pus recommencer alors que j'en étais incapable, pis j'aurais continué mon p'tit jeu en m'arrangeant pour que tu le saches pas,c'te fois-là! Là, j'taurais trompé, Jean-Marc! Mais j'taimais trop pour ça. Pis j'ai pas plus le goût aujourd'hui de dompter mes appétits juste pour avoir un amant popoteux, aussi beau, aussi intelligent soit-il, qui m'attend le soir à la maison, même si je manque de tendresse. Parce que j'en manque, c'est bien évident. Mon lit est froid par grand boutte mais au moins j'fais de mal à personne d'autre qu'à moi-même!

Jean-Marc: Tu parlais pas comme ça au début de notre relation.

Luc: J'parlais pas comme ça parce que j'me connaissait pas encore assez pis que j'avais peur de m'avouer certains besoins que je pensais laids parce que tu les ressentais pas!

(...)

Même si je sais et que je fais tout pour passer au travers je ne peut m'empecher d'encore y penser. C'était une relation qui n'a durer que 1 mois et demi et j'agis comme si cela avait été l'homme de ma vie. Cependant, je voudrais tellement avoir une VÉRITABLE conversation avec lui et non pas un où LUI aurait décider de ce qui doit être dit et comment cela doit être dit. En aie-je le droit? Devrais-je plutôt laisser aller et laisser coulé le temps? Vraiment il y a des moments je ne sais plus.


. .
Voilà un extrait de "Les anciennes Odeurs" de Michel Tremblay... Du moins, c'est ce que ma source m'indique. J'ai pris cet extrait du blog de Charles Desjardins (Fenêtre Ouverte sur le Monde) qui en avait lui-même fait un article.
Inutile de vous dire que je l'ai mis su mon blog parce que je veux le trouver et le dévorer!
PS Je me suis acheter "Des Fraises en Janvier", l'imprimé de cours, à la Coop au collège. Je l'ai pas commencé parce que j'ai d'autres lectures à faire et que je veux lire "Ils étaient venus pour..." de Marie Laberge avant, mais vous pouvez être sûr que, tôt ou tard, je vais le déguster aussi!
Vive la littérature (dramatique) québécoise! =D

7.11.08

Thèmes à discuter...

Je ne crois pas que j'aurais aimé vivre à la campagne. Je dirais même que Valleyfield est limite. Je veux dire... Je veux dire que Valleyfield c'est chez nous, c'est beau, j'aime ça, mais...

Mais j'aimerais mieux la ville.
La proximité, c'est quelque chose que j'aimerais avoir encore plus qu'ici.
C'est pour ça que je pense qu'en campagne, je serais pas heureux.
Du moins, sûrement que je le serais pareil, mais ça serait différent.

J'aime ça y allé, mais pas longtemps.

J'suis jamais vraiment allé en campagne.
Quatre fois tout au plus.
Mais je sais que j'aimerais ça y aller, mais pas longtemps, parce que j'aime le camping, mais pas longtemps.
Vous allez dire : "C'est pas pareil! Tes propos sont péjoratifs à l'égard du monde rural"...
C'est vrai que ça sonne comme ça, mais l'intention était pas mauvaise, je le jure...

Simplement que je m'imagine une petite maison et une petite grange, comme un petit refuge, et je sais que, pertinemment, j'aimerais ça passer des vacances là-dedans.
Mais y vivre, avec tous les efforts auxquels la vie à la ferme se rattachent...

Je suis vraiment pas sûr d'être l'homme de la situation...


. .
Je parle jamais de politique.
Enfin, si, mais très peu : C'est parce que je connais pas ça.
C'est comme l'actualité. J'écoute pas souvent la télévision et quand ça m'arrive, c'est pas pour regardé/écouté/touché/sentir les nouvelles.
Maman dit que ça a pas d'allure pis qu'on va devenir du monde inculte si on commence pas à écouter ça.
Moi, je pense pas ça.
Je pense qu'ils racontent des trucs à moitiés vrais seulement. Comme ce qu'il s'est passé à la plage le premier juillet. Ils en ont mis très épais. Le media a un pouvoir. Ceux qui étaient en sec V l'an dernier l'ont certainement appris.
Et bien c'est vrai... Ils peuvent influencer à leur guise, c'est une force qu'ils ont, ces médias.
Mais je ne parle pas contre ça! Ça nous a aidé qu'ils en mettent épais. La municipalité nous a accordé ce qu'on voulait après...
Et puis, pour revenir au fait qu'on écoute pas les nouvelles...
J'aime bien mieux qu'on me mette au courant par des gens que je connais...
Je pense.
J'arrive le matin à l'école et des gens discutent d'un truc : Je m'immisce et apprend.
(Je viens sûrement de scrapper le mot. D'autant plus que j'ai dû faire des millions de fautes d'orthographe... C'est pas grave! Audreyv lis pas mon blog pour me le reprocher! [Clin d'Oeil, Clin d'Oeil])
Mais la politique, même si je comprend rien la plupart du temps, j'aime ça en entendre parler. Les grands mouvements des parties... On fait partie d'une démocratie hein? Demos Cratos qui veut dire pouvoir du peuple...
Est-ce que ça veut dire qu'on contrôle nos dirrigeants politiques? Messemble que c'est un peu contradictoire...
Je comprend peut-être pas la politique, mais je m'y intéresse... Des fois.
Je m'intéresse aussi à la lois de temps en temps! Je comprend pas plus, mais des fois je me dis que j'aimerais ça avoir des cours de ce genre-là juste pour comprendre un peu mieux la société dans laquelle je vis.
Mais tout ça ne fais pas de moi un inculte. Autant que ça ne fait pas de moi un infortuné! Je m'en sors plutôt bien dans la vie je crois.
Si c'est pas le cas, j'en ai l'illusion et ça fait la même affaire!
. .
Je suis sauveteur. Je suis bientôt moniteur.
Je suis musicien parce que je possède la connaissance de la musique et la connaissance de certaines méthodes à la clarinette, au piano et aux cuivres comme la trompette, le mélophone, le bariton et le trombone... Du moins, un peu.
J'ai pas dis que j'étais un maître.
Je suis un acteur parce que je suis des cours de théâtre et que je joue, parfois, ou/et que j'ai déjà joué.
J'ai pas dis que j'étais professionnel.
Je suis plein de chose. Et vous, qu'êtes-vous?
J'essais de faire le lien entre le sauvetage et la musique. C'est drôle hen, mais j'en vois pas! Sûrement que c'est la preuve qu'on est unique. On a tous des combinaisons différentes d'activités, d'aptitudes et d'intérêts.
Il y a des gens qui font TOUT. J'envie un peu ces gens.
Ils doivent être très intelligent pour posséder la connaissance de TOUS ces domaines!
..
J'en ai déjà parlé, mais j'ai changé. Je pense pas que ce soit nécessairement une mauvaise chose parce que je me sens bien avec ça. Je sais que j'ai changé, autant que je sais que les choses changent. Je m'attend à ce qu'elles changent, même si le changement ne ferait pas nécessairement mon affaire. Dans ces cas-là, je ne les souhaite pas et je ne prend pas la peine de me préparer. Mais quand les choses que je ne souhaitent pas voir changer changent, je me plains pas trop parce que...
Ben je m'attendais déjà à ce que les choses changent.
C'est comme une job d'été. Les plus anciens partent et on est plus ancien que les nouveaux qui arrivent... C'est comme ça à chaque année...
Il faut s'y faire je suppose...
Sans compter que, individuellement, on change tous durant l'année scolaire!
. .
Je suis en retard... Eh merde...

Mon Desktop



Parce qu'apparemment qu'il y a une mode...
Ou sinon, je suis tombé sur le blog de celui qui essait de la partir et je le fais moi-même...

En effet, c'est bel et bien mon desktop d'ordinateur, livré pour vous.


C'est un peu comme mon lieu de travail et je suis certain que si vous preniez un printscreen du vôtre, on pourrait vous reconnaître à travers, autant que vous me reconnaissez peut-être à travers le mien...


Quoiqu'il en soit, si un inconnu tombe là-dessus, il a une vague idée de ce que j'aime faire dans la vie! Avec le msn ouvert, une conversation entâmée, les personnages en couleurs et mes icône "un peu n'importe quoi, un peu n'importe comment", on peut distinguer mes intérêts et mon "sens de l'organisation"...


Bon, j'ai pas fait de psychologie, mais sûrement qu'il y a des éléments là-dedans qui en révèle énormément sur mon moi-même non?

Again...

...me voilà en train de danser dans sa main...

6.11.08

J'suis heureux d'la vie!

Parce que j'ai régler certains comptes à temps,

Parce que j'en apprend sur moi,

Parce que j'arrive enfin à (comprendre comment) me gérer le coeur,

Parce que j'ai parlé à un ami à moi au téléphone,

Parce que j'ai obtenu un rendez-vous, même si je pourrai pas me présenter,

Parce que rien a changer avec un,

Parce que tout a changer avec l'autre,

Parce que c'est mieux comme ça : je suis mieux comme je suis.

Un point c'est tout.

3.11.08

Sans pertinence

Il me semble que j'aurais de quoi de pertinent et d'important à dire aujourd'hui... Pourtant, je ne trouve pas.

Peu m'importe! J'ai passer un super weekend de up and down tout à fait normal!

(Mon Dieu! J'ai l'air déprimé quand je dis ça, mais pas du tout! Vraiment pas!)

En fait, je suis de bonne humeur aujourd'hui! J'ai l'impression d'avancé dans tous les aspects de ma vie (amoureuse)...

On verra bien! XD

Ah tiens! J'ai le goût de me tenter pour une nouvelle écriture mioche automatique...

Ça sera pour bientôt!

PS Oubliez pas d'aller voir la petite liste à votre droite "Parce que je les admire!"
PS2 Audreyv, tu retourneras dans cette liste-là quand tu posteras de quoi! mi amore! XD

2.11.08

Mariés et Mariées...

J'ai reçu des fleurs aujourd'hui.
Ce n'était pas mon anniversaire ni un autre jour spécial.
Nous avons eu notre première dispute hier dans la nuit et il m'a dit beaucoup de choses cruelles qui m'ont vraiment blessées.
Je sais qu'il est désolé et qu'il n'a pas voulu dire les choses qu'il a dites parce qu'il m'a envoyé des fleurs aujourd'hui.

J'ai reçu des fleurs aujourd'hui...
Ce n'était pas notre anniversaire ni un autre jour spécial.
Hier, dans la nuit, il m'a poussé contre un mur et a commencé à m'étrangler.
Ça ressemblait à un cauchemar, je ne pouvais croire que c'était réel.
Je me suis réveillée ce matin le corps douloureux et meurtri.
Je sais qu'il doit être désolé parce qu'il m'a envoyé des fleurs aujourd'hui.

J'ai reçu des fleurs aujourd'hui...
Et ce n'était pas la fête des mères ni un autre jour spécial.
Hier, dans la nuit, il m'a de nouveau battue, c'était beaucoup plus violent que les autres fois.
Si je le quitte, que deviendrais-je?
Comment prendre soin de mes enfants?
Et les problèmes financiers?
J'ai peur de lui mais je suis effrayée de partir.
Mais je sais qu'il doit être désolé parce qu'il m'a envoyé des fleurs aujourd'hui.

J'ai reçu des fleurs aujourd'hui...
Aujourd'hui c'était un jour très spécial...

C'était le jour de mes funérailles.

Hier dans la nuit, il m'a finalement tuée.
Il m'a battue à mort.
Si seulement j'avais trouvé assez de courage pour le quitter, je n'aurais pas reçu de fleurs aujourd'hui...

Malheureusement, la violence conjugale frappe sournoisement plusieurs familles, sûrement même tout près de chez vous.
Personne n'a le droit de vous agresser verbalement ou physiquement.
Aucune forme d'Amour ne peut s'exprimer ainsi.
La possession et la jalousie sont des formes de contrôle et non des facettes de l'Amour.

Pour ceux ou celle d'entre vous qui lisez ce texte meme si nous ne pouvons pas faire grand chose contre ca par nous meme diffusé ce texte sur votre blog si cela permet a l'une de ces femmes battu de le lire et de prendre conscience ce sera déja une de sauvé alors je vous en prie faite le...

**Ce texte n'est pas de moi, mais il mérite d'être diffusé et partagé.

30.10.08

Qu'aurais-je à dire de plus?

C'est drôle.
J'ai changé.
Du moins, sûrement que j'ai changé!

Avant, j'écrivais des articles sur mes blogs surtout pour laisser des indices sur mes humeurs ou mes impressions. Avant, ça ressemblait plutôt à une sorte de série de message implicite à décoder... Du moins, je crois...

Parce que même si je me vidais le coeur, c'était pas écrit noir sur blanc ce qui se passait dans mon coeur, dans ma tête, dans ma vie...
Aujourd'hui c'est différent.

Aujourd'hui, je n'ai plus besion de mon blog pour dire comment je vais.

C'est drôle.
J'ai changé.

À peu près n'importe qui peut me demander à peu près n'importe quoi et pourrait s'attendre à une réponse directe, franche et sincère... ''T'as-tu hâte?'' ''Non.''
Dans la mesure où je ne me cache plus vraiment, dans la mesure où j'ai moins peur d'être affiché et dans la mesure où je suis enfin prêt à être le héro de ma propre vie comme vous tous êtes les héros de la vôtre : J'ai changé.

Pour le mieux?

Le temps le dira, mais pour le moment, je suis bien. Et j'ai pour me dire que ''tant qu'on est heureux, c'est à peu près tout ce qui compte''...

Donc voilà, des fois je me dis que j'écris pour rien dire sur mon blog... Sûrement que c'est ça... Des fois... Mais je le justifie ainsi... C'est qu'aujourd'hui je n'écris plus pour les même raison...

Luv xx

PS ''Tant qu'on est heureux, c'est tout ce qui compte...'' Ne serait-ce pas là une question philosophique que d'essayer de définir ce qu'est le ''bonheur'' à prima bord?

28.10.08

Aujourd'hui

Je ne suis pas allé à mon cours de théâtre ce matin... En fait, je devrais encore y être. Je ne me sentais pas très bien...
Une matinée au lit et dans un bain chaud m'a fait du bien, mais depuis quelque temps, j'ai mal partout! J'comprend pas trop, mais je ne me pose pas trop de question... J'suppose que j'ai besoin de repos! o0

Chose certaine, je ne perd pas la tête! J'ai commencé et terminé un jeu vidéo de puzzle, d'observation et de logique en fin de semaine! =D Bon, c'est pas grand chose vous allez dire, je suis d'accord, n'empêche, les neurones allaient vite! X3
Et puis, je suis dans ma passe "lecture de théâtre québécois", avec cette Marie et ce Michel! D'autant plus que j'i hâte de découvrir Judith Thomson et d'autres encore!

(Des Fraises en Janvier? o0)

Heheh... Alors voilà... La phrase que j'aurais ce matin dans mon cours :

"Peut-être que je me couche trop tard ou peut-être que je me lève trop tôt, mais quoiqu'il en soit mon corps se crispe, s'émiette, en laissant libre mon esprit qui s'envole et fait la fête aux lectures de plusieurs livres qui m'insuffle d'une certaine joie malgré ma faiblesse d'aujourd'hui."

27.10.08

Le Faucon

Eh oui... Je l'ai commencé et terminé Le Faucon de Marie Laberge aujourd'hui! Tout comme l'Anse-à-Gilles, j'ai trippé! Je sais pas si c'est la plume de Marie ou si c'est le théâtre tout simplement, mais les trois seuls personnages de sa pièce font vibrer tout-jusqu'à faire vibrer le vide lui même... C'est peut-être juste moi, c'est peut-être pas si bon... Et sûrement que ma critique est pas très pertinente parce que je fais juste dire que j'ai aimé ça...

Mais compter sur moi pour y revenir un m'ment donné! En attendant, cette oeuvre s'ajoute à mes délices! =D

Origine de la Gay Pride

De nombreuses personnes, tant hétéro que homo, bi, transgenre, n'arrête pas de se demander si la fierté doit toujours avoir lieu et aussi que ce n'est qu'en faite qu'une grande fête où les gays se font plus ridiculiser que d'autres choses. J'ai trouvé un article qui nous montre le pourquoi et le quand que cela est partis.

«Il était une fois Stonewall...;

Pour comprendre les origines historiques des marches de la fierté gaie et lesbiennes, comme celle de divers/cité, qui se tient le premier dimanche d'août depuis 1993, il faut faire un saut en arrière de 34 ans, en 1969, à New-York. Retour, donc, sur le déroulement d'un évenement historique qui aura une résonnance inouie à travers les années.

À cette époque, dans tout l'État de New-York, il est interdit de servir de l'alcool aux homosexuels et illégal de danser entre hommes. Le seul bar de New-York qui accepte de servir de l'alcool à des hommes qui dansent ensemble et à des homosexuels qui 'afficent comme tels est le Stonewall Inn, situé au 53 Christopher Street, au coeur du greenwich village. Le lieu est tenu par la mafia, qui achète sa tranquilité aux autorités en leur glissant des enveloppes bourrées de dollars. Malgré ce racket lucratif, la police ne peut résister au plaisir d'humilier régulièrement la clientèle du bar.

Le vendredi 27 juin 1969, un inspecteur de police, accompagné de sept officiers de la brigade des moeurs habillés en civil, débarque peu avant minuit et annonce son intention d'arrêter le personnel et la soixantaine de clients qui s'y trouvent. De telles pratiques étaient fréquemment utilisés par la police, qui avaient l'habitude de mener ces descentes contre les gais qui, d'ordinaire, ne résistaient pas et se laissaient embarquer. À la sortie du bar, quelques travestis et passants assistent à l'évenement en spectateurs, bien vite rejoins par d'autres. Quand le fourgon de la police arrive, de passive, la foule devient de plus en plus hostile.

C'est une femme habillé de façon masculine, entrainée hors du bar par la police pour être embarquée, qui déclenche par sa résistance et son refus de se laisser faire le début de l'émeute. Quelques drags queens-qui se diront bouleversés par la mort, le jour même, d'une de leurs icônes gaies, Judy Garland-décident d'en remettre en envoyant des bouteilles vides aux représentants de l'ordre, qui se voient obligés de battre en retraite à l'intérieur du bar. De jeunes prostitués se joignent aux drag queens et prennent des briques qui forment la pavé de la rue et les lancent dans les fenêtres du bar. Les policiers s'affolent: l'un d'entre eux menace même de tirer sur la foule, tandis que l'un des manifestants improvisés tente de mettre le feu au bar pour «faire griller les poulets».

C'est le début d'une émeute qui va durer toute la nuit et dont il existe différentes versions (c'était sans doute inévitable, vu que Stonewall devenait de plus en plus une légende à laquelle plusieurs voulaient être associés). Des renforts appelés à la rescousse permettent finalement de vider les rues quelques heures plus tard. L'édition du 29 juin du New york Daily titre: «Descente dans une ruche gaie: les abeilles piquées comme des folles». Le soir même, plus de 500 manifestants défilent dans Christopher Street, en passant devant le ba, fermé depuis les émeutes, pour exprimer ouvertement leur homosexualité et condamner l'attitude de la police.

Dans les semaines qui suivent, toute une partie de la population new-yorkaise se sent solidaire contre les policiers qui, depuis quelques années, ne pourchassent pas que les gais, mais également les toxicomanes, les sans-abris, les étudiants gauchistes et tout ceux qui peuvent sembler marginaux. On peut expliquer une telle réaction en considérant la naissance et le développement, dans les années précédentes, d'une contre-culture volontiers rebelle aux valeurs de respectabilité de la société de l'époque. En outre, la liberté sexuelle grandissante remet en cause l'intolérance vis-à-vis de l'homosexualité.

La télé, la radio et les journaux à grand tirage font écho de la révolte des homosexuels. La nouvelle fait rapidement le tour du monde et Stonewall devient le symbole d'un minorité invisible et opprimé qui demande le droit de jouir des libertés revendiqués par tous les citoyens.

Au début de 1970, l'un des manifestants, Graig Dowel, fonde le Gay liberation front (GLF) et décide d'organiser en juin une grande manifestation dans les rues de New-York pour commémorer les évènements de Stonewall. Le dimanche 28 juin 1970, malgré la peur et les menaces, entre 7000 et 10000 personnes défilent sur la sixième avenue jusqu'à Central Park en criant les slogans «Gay Power!» , «Two,four,six,eight! Gay is just as good as straigth!» et «Out of the closet! Into the streets!» Cette première marche s'achève par un gay-in à Central Park, envahi pacifiquement par les manifestants qui s'embrassent et fument des joints sur le gazon.

Au même moment, dans d'autres grandes villes américaines(dont San Francisco, Boston, Los Angeles et Atlanta), des groupes de gais et lesbiennes organisent, sans réelle concertation et de manière improvisée, leur premières manifestations, regroupant de quelques dizaines à quelques centaines de personnes pour souligner le premier anniversaire du Stonewall.

Et avec le temps, le mouvement prend de l'ampleur. D'abord circonscrit aux États-Unis, où sa popularité grandit, le phénomène traverse l'Atlantique et se propage en Europe et peu à peu sur tous les continents. Ces célébrations, qu'on nomme d'abord Gay pride, puis lesbians & gay pride dès la fin des années soixante-dix deviennent de véritables parades ou défilés hauts en couleur qui commémorent le souvenir et le idéeaux d'égalité de Stonewall.

Même si elles sont souvent perçues comme des marches festives aux accents carnavalesques, les célébrations de la fierté demeurent, par leur seule existence, des manifestations politiques avec les revendications du moment (reconnaissance des conjoints, famille, lutte contre l'homophobie, lutte pour l'obtention du droit de se marier, etc.), le tout evidement enrobé d'une douce folie et d'un esprit de carnaval et où les groupes communautaires se mêlent à certains commerces reliés à la communauté.

auteur; Yves Lafontaine(20-07-2003)

PS ma source : "Fenêtre ouverte sur le monde", un netblog de Charles Desjardins

Sans eux...

UN MONDE SANS NOIRS?
On raconte une histoire très amusante et très révélatrice à propos d'un groupe de Blancs qui en avaient marre des Noirs.
Ces Blancs avaient décidé, d'un commun accord, de s'évader vers un monde meilleur. Ils étaient donc passés par un tunnel très sombre pour ressortir dans une sorte de zone nébuleuse au coeur d'une Amérique sans Noirs, où toute trace de leur passage avait disparue.
Au début, ces Blancs poussèrent un soupir de soulagement.
Enfin, se dirent-ils, finis les crimes, la drogue, la violence et le bien-être social.
Tous les Noirs ont disparus.

Mais soudainement, ils furent confrontés à une toute autre réalité, la nouvelle Amérique n'était plus qu'une grande terre aride et stérile.
Les bonnes récoltes étaient rares car le pays s'était, jusque là, nourri grâce au travail des esclaves noirs dans les champs.
Il n'y avait pas de villes avec d'immenses gratte-ciel.
Car Alexander Mills, un Noir , avait inventé l'ascenseur et sans cette invention, on trouvait trop difficile de se rendre aux étages supérieurs.
Il n'y avait pratiquement pas d'automobiles car c'était Richard Spikes, un Noir, qui avait inventé la transmission automatique.
Joseph Gammel, un autre Noir, avait inventé le système de suralimentation pour les moteurs à combustion interne, et Garret A. Morgan, les feux de circulation.
En outre, on ne trouvait plus de réseau urbain express, car son précurseur, le tramway avait été inventé par un autre Noir, Elbert R. Robinson.

Même s'il y avait des rues où pouvaient circuler automobiles et autres rames ferroviaires express, elles étaient jonchées de papier et déchets, car Charles Brooks, un Noir, avait inventé la balayeuse motorisée.
Il y avait très peu de magasines et de livres car John Love avait inventé le taille-crayon, William Purvis, la plume à réservoir, et Lee Burridge, la machine à écrire, sans compter, W.A. Lovette avec sa nouvelle presse à imprimer.
Vous l'avez deviné ?

Ils étaient tous des Noirs.
Même si les Américains avaient pu écrire des lettres, des articles et des livres, ils n'auraient pu les livrer par la poste, car William Barry avait inventé le tampon manuel et Phillip Downing, la boite aux lettres.
Le gazon était jaunâtre et sec, car Joseph Smith avait inventé l'arrosoir mécanique, et John Burr, la tondeuse à gazon.
Lorsque les blancs entrèrent dans leurs maisons, ils trouvèrent que celles-ci étaient sombres, pas étonnant, Lewis Latimer avait inventé la lampe électrique, Michael Harvey, la lanterne, Grantville T. Woods, l'interrupteur régulateur automatique.
Enfin leurs maisons étaient toutes sales car Thomas W.Steward qui avait inventé la vadrouille (balai), et Lloyds P. Ray, le porte poussière ; leurs enfants les accueillirent à la porte pieds nus, débraillés et les cheveux en broussaille, à quoi fallait-il s'attendre?
Jan E. Matzelinger avait inventé la machine à formes de chaussures, Walter Sammons, le peigne, Sarah Boone, la planche à repasser, et George T.Samon, la sécheuse à linge.

Les Blancs se résignèrent finalement à prendre, une bouchée, dans tout ce chambardement, mais pas de chance, la nourriture était devenue pourrie car c'était un autre Noir, John Standard, qui avait inventé le réfrigérateur.
N'est-ce pas étonnant?

Que serait le monde moderne sans contribution des Noirs?
Martin Luther King Jr. a dit un jour : "Quand vous êtes prêts à partir pour le travail, sachez que la moitié de toutes les choses de et de tous les appareils dont vous vous êtes servis avant de quitter votre maison a été inventée par des Noirs".

Tout ça, pour vous dire chers frères et soeurs que l'histoire des Noirs ne se résume pas seulement à l'esclavage.
Quand nous pensons à : Frédérik Douglass, Martin Luther King Jr., Malcolm X, Marcus Garvey et Du Bois.

Diffusez ceci à tout le monde afin que tous sachent la vérité, c'est le minimum que nous puissions faire pour leur rendre hommage.
Comme disait Bob Marley : "Time will tell" (le temps le dira). BONNE JOURNEE,
Sysley and beni

Diffusez ces messages et informations autour de vous et agissez individuellement ou collectivement. Le silence est une forme de complicité! DRESSONS NOS FRONTS LONGTEMPS COURBES!

21.10.08

Espérances

Le monde est beau dans la vie tsé... Il s'agit juste de tomber sur les bonnes personnes... J'ai couru après j'pense... Pis au fond, chu content qu'il se soit jamais retourné. Parce que je pense pas, asteure que j'y repense, que j'aurais été ben ben heureux avec =p

Tu seras un bon ami, ok?

Dans la vie, je fais confiance que je vais ben trouver quelqu'un pas trop loin un moment donné... (Le venezuela... Côte-Nord... Chicoutimi...) C'est un peu loin.
Mais au fond, on sait jamais ce qui peut arriver.

Le monde est beau... J'vais finir par tomber sur qqn d'accessible...

17.10.08

À celui (ou celle) qui me lit :

C'est motivant des fois des commentaires... Je sais pas là, je fais juste dire ça de même... =-p
[LOVE]

Je'l savais que je tofferais pas!

Deux-trois petits mots et il me reprend dans sa main... Toutefois, peut-être que je viens de me rendre compte que ça vaut des fois[...]

16.10.08

...

Ben oui... Fallait bien s'y attendre!
Mau-dite Mar-de!

Chu tanné... Ben oui! Je m'en rend compte là! J'ai été complètement ridicule depuis un méchant boutte! Je vous remercie tous de votre patience... Mais tsé... Moi... Moi j'étais ben dans mes ptits feelings...

L'affaire qui arrive, c'est que j'ai eu la chance de lui reparler il n'y a pas tellement longtemps. J'ai compris qu'il était pas près pour rien... Pis qu'il était pas près de se donner une chance non plus... Finalement, je prend le bord pour vrai... Mais tsé, malgré tout, j'aurais sûrement pu garder ma patience encore...

Mais je pense pas que ça aurait été sage.

Chu tanné... Ben oui! J'vas arrêter de chercher des indices dans tout ce qu'il va me dire... J'ferai rien pour laisser sous-entendre quoique ce soit... Pis ça sera pas peut-être pas tellement un gros sacrifice si j'y arrive vraiment... Parce que peut-être bien que je me verrai en train de bâtir quelque chose d'autre...

C'est sûr, c'est juste une fantaisie encore, mais j'aime mieux croire en n'importe quoi qu'en rien pentoute...

Fac c'est ça...
...
...
Mais est-ce que chu capable de tenir mes résolutions?
"Le Coeur a des raisons que la Raison ne connaît point..."

15.10.08

Marianne

Marianne :
J'l'avait toujours su et toujours espéré... Mais maintenant que cé arrivé. On aurait dit que c'tait à moi à faire de quoi... Depuis je comprend pu rien. Peut-être que j'ai jamais rien compris... Comprends-tu? Des fois j'me dis que chu ben moins bonne que ben du monde... D'autre fois je me rassure et j'me dis que si chu ben icitte pis que chu pas là-bas, avec les autres, c'est qu'il y a une ben bonne raison... Hen? Vous comprenez... J'me dit que... Si cé moi qui a été choisit, c'est que'j dois être ben spéciale...

Oliver :
Ben oui... C'est ben pas compliqué!

Marianne :
Qu'est-ce t'en dis Maryse?

Susanne :
Ben d'la marde! Voère que tu fais ça d'même! J't'el dit là! Le pére le faisais pas d'même de son temps! Y's concentrait su chaque boulon pis su chaque visse pour que ça aboutisse à de quoi qui a ben d'l'air de queq'chose! Làlà! Ce que tu me montre... Ça devrait même pas être montré!

Maryse :
Continues...

Oliver :
Ben voyons! Un avion c't'un avion! Pis ça... Ça m'a ben d'l'air d'un avion! J'ai faites ça toute ma vie avec Popa! Pas comme toé qui est resté trop longtemps trop près de Moman!

Marianne :
Mais j'en reviens pas! Voir que c'est ben moi qui'l l'aurait tué le mononcle! J'ai pas rienque ça à faire dans la vie moi! Lancé des sortilèges!

Susanne (fort) :
Eille là on va s'entendre sur une chose!

Maryse :
Si le village au grand complet t'accuses de la sorcellerie qui a tué mononcle là! C'est que t'as ben dû faire de quoi pour attirer leur soupçon!

Oliver (sur la défensive) :
Quéssé tu veux tu ben que'j te dise!?

Marianne :
C'est pas moi! C'est pas moi c'est lui! C'est lui qui faisait des affaires pas catholiques! C'est lui qui avait l'air bizarre!

Susanne :
Dans sa cabane dans le bois, y faisait ben mieux!

Maryse (Silencieuse) :
Je sais pas de quoi tu parles.

Oliver (En colère) : Ben er'garde moé ben ma "belle"... M'a te la laissé la faire tu-seule si t'es pas contente! De toute manière on est né dans c'te maudit trou là! On a passé not' vie icitte pis Popa a toute faite depuis qu'il était coincé à se bâtir une foutue avion qui marcherait pas pire! Mais on sait ben! Y faisait ben mieux qu'moé le pére hen! S'pour ça qu'y'é mort dans un "Crash... d'avion"?

Marianne (Honteuse) :
Scuzes... C'est pas ce que j'ai voulu dire... J'ai parlé trop vite...

Susanne (Démolie) :
La prochaine fois... Retiens ta langue... J'te'l pardonnerai pas une seule autre fois...

Maryse (Sèche) : Si t'as encore de quoi du genre à dire... M'en va te laissé crever su'a table... Pis j'te'l dit làlà : Prends gardes... Pass chu vraiment pas sûr qu'il y a quelqu'un d'autre dans c'te boutte-citte qui est prêt à faire de quoi pour t'empêcher de manger des roches en pleine face... Chu tanné moi aussi de toutes les injustices... Mais c'est parce qu'il y a des réactions comme la tienne partout où on r'garde qu'elles surviennent...

Oliver (Radoucie) :
S'pas comme si j'avais tort... On est pressé-là... On a pu l'temps de s'amuser à vérifier chaque tite affaire! Y s'en vienne nous chercher bentôt là... On est presque le prochain sur la liste...

Marianne :
Je te l'ai dit, j'm'excuse... Au fond... Au fond s'pass j'ai peur... J'le sens pas... Pis j'ai pas confiance en toi... Pas dans la vie, mais je pense pas qu'tu vas m'sauver... Des fois j'me dis qu'j'aimerais mieux m'laissé crever pour des crimes que j'ai pas faites, plutôt que'd vivre avec le poids des mauvais regards...

Susanne :
T'as ben raison... On fait ça... J'ai d'aut' chose à faire de toute façon... M'a te laissé règler ça... Mais je t'averties... Si tu fais la même bêtise que Popa, m'en va te trucider encore plus... Parce que... Parce que j'supporterais pas ça... J'pourrais pas... Vas-y mon coeur... Vas-y! Travailles dur comme t'auras jamais travaillé... Pis envole toi toujours ben! Pis... Minqu'on s'ervoye, à notre outre-monde... Tu'm conteras comment que c'tait de planer avec les ouaseaux... Tu me raconteras les histoires que le soleil t'auras racontés... Parce que moi... Ben moi ça va faire un boute qui m'auras pu éclairé...

Maryse :
J'ai confiance en toi... Sois forte... Pis si on se sépare... C'est juste pour mieux s'ertrouver... J't'aime ben ma belle, pis surtout... Watch toi...

Oliver :
Merci... J'pourrai jamais t'oublier tsé... Pis j'vas toujours pensé à toi... Tout ce que j'aurai vécu... Ça l'aura été pour nous deux ok?

Marianne :
J'réussirai pas à sauver le village de leur mauvais actes... Mais minque la vraie histoire va finir par se faire savoir... La corde va se tendre... Pis j'm'en va être en haut pour les attendre pis leur dire... Ouin... M'en va leur raconté tout c'qui cé passé pour vrai... Pis l'mononcle y va ben crever à toé jours en enfer...

14.10.08

Impro!

C'était vraiment une belle soirée je trouve! Je suis content d'avoir été là! Mais j'écris surtout pour attirer l'attention sur quelque chose qui s'est dit dans le match... Un moment donné, l'une des joueuses à dit : "Chaque torchon a sa guenille..."
-Marie Laberge-

C'était avant la guerre à l'Anse-à-Gilles

Elle est tellement bonne cette pièce là! Quatre personnages, seulement quatre personnages, mais Dieu qu'ils sont beaux et qu'ils sont bon! Attention, quatre personnages sur scène, mais Dieu sait qu'on voit évoluer plusieurs autres qui ne parleront ni même apparaîtront sur scène! La pièce s'étant sur presque toute une année (pas comme Un Simple Soldat qui dure 10 ans)!
C'était la première oeuvre de Marie Laberge que j'ai lu en entier à vie! Je dis "en entier" parce que j'ai déjà essayé de lire Gabrielle et le reste de la trilogie "Le Goût du Bonheur", mais j'ai pas réussis... Quelques lignes m'avaient déjà lassées à l'époque... Mais il faut dire aussi que j'étais plus jeune et que je préférais de loin que Shihna atteigne le niveau 54 pour obtenir sa technique "Demon Seal" plutôt que de suivre ces longues (et pourtant si merveilleuses) histoires d'amour...

Peu m'importe aujourd'hui! Je me suis lancé en quête de lecture et je compte bien le poursuivre ce périple au coeur des lettres!

13.10.08

Réplique...

...que je viens d'entendre dans le film d'amour qui joue à la télé en même temps que je fais mes devoirs:

"Il m'arrive de me sentir si seule que j'en oublie le jour où on est et comment je m'appelle..."

Messemble c'est beau malgré que ça soit triste...

Parce que j'avais oublié...

C'est toute une révélation quand on se fait dire par son Daemon qu'on a tout oublié... Oublié qu'on aimait lire autrefois... Les délices de se plonger dans ces univers imaginaires qui font pourtant vibrer notre histoire... N'est-ce pas là un définition intéressante que l'on pourrait donner à l'art ou la culture? "Fenêtre vers un monde imaginaire construit dessus, dessous, autour et à même le monde réel..." Ne trouvez-vous pas juste de dire que l'art est en tout et tout est dans l'art? Ça me soulage énormément de me replonger dans une lecture, puis une seconde... Et qui sait où ça me mènera, sinon encore plus loin sur la route que je suivais autrefois!

12.10.08

Écriture Automatique? Ben ordinaire sûrement...

Pier :
Mais pourquoi? Pourquoi? Veux-tu ben m'dire quéssé que cé qui fait que té aussi entêté? Messemble ya jamais rien eu à faire avec toi t'as toujours été d'même! Pis t'es le seul dans maison itou! Pourquoi est-ce que cé qu'cé que tu l'as embrassé la blonde à Luc si "tu l'aimes pas" comme tu't tue à m'dire pour essayer de te faire pardonner? C'est complètement ridicule!

Joseph :
Ben non... Ben oui... Ben... Tu cé ben câline! J'fé pas exprès! Depu l'accident...

Pier :
Depu l'accident! Depu l'accident! Ya rien qu'ça qui sort de ta bouche bâzwell! Là là tu'l cé quéssé qui va arriver! Luc y va aboutir icitte pour te casser la yeule si Maria à s'ouvre sa grand-yeule!

Joseph :
Ben non là! C'est elle qui l'a voulu! À l'a fait exprès de tomber sa langue dans ma bouche!

Pier :
Ben cé ça j'veux dire! À va ben tout fére pour s'enlever l'blâme de d'ssus elle debord! C't'encore ben plus pire! Maria est pas conne, mais est pas ben ben sage... Spa pour rien qu'tout l'monde a des troubles avec Luc! C't'à cause d'elle! Là là! Y va aboutir icitte d'une menute à l'aut là! Tu nous as encore mis dan'l trouble Joseph, va encore falloir déménager!

Joseph :
Ben spas pire... S'avait l'air bien dan'l boute d'la ptite brune à longues jambes du dernier café avant d'aboutir icitte...

Pier :
Spas ça Joseph! Spas ça. (Silence) Tu penses toujours rienqu'à toé! Mais si t'allait rien qu'un peu plus... Rienque un peu plus loins que'l bout d'ton nez, tu verrais ben que moé j'la fais ma vie à chaque place qu'on arrête... Pis qu'mé affaires vont bon train... Mais à chaque fois...

Joseph :
Faut qu'tu t'sacrifie? M'en fou. Restes si tu veux... M'a partir tu-seul j't'ai jamais d'mander d'aide moé... Maudit t'épais...

(Il part)

Pier :
Yé parti... Ben tanpis... Au moins... Au moins j'y aurai dis ça... (Silence...) Mais j'y aurai jamais dit que'j l'aimais...

Je l'ai relu! Ça me touche pas vraiment, mais je trouve ça beau...

Ya des moments dans la vie où on voudrait parler, mais on parle pas...Ya des moments dans la vie où on voudrait pleurer, mais où on pleure pas...Ya des moments dans la vie où on voudrait mentir, mais on ment pas...Mentir aux autres, mais on leur ment pas...Se mentir à nous-même, mais on se ment pas...Qui a dit "Si on veut on peut..."?Sûrement que c'est juste moi qui me tourmente pour des trucs impertinents... Ça c'est un des grands mystères de la vie... Ne pas s'en faire avec les choses importantes et péter une dépression pour un détail... Un tout petit détail... Une toute petite chose, inutile, mais qui change quand même tout si on est prit comme moi... À ne pas s'en faire avec les choses importantes et à "péter une dépression" pour des détails...Je me souviendrai toujours de celui que j'ai déjà oublié... Celui que j'ai déjà oublié a dit : "Il arrive que les grandes décisions ne se prennent pas, mais se forment d'elles-mêmes."Alors je suppose que si la décision se forme d'elle-même on a pas à s'en soucier... non?Sûrement que je m'en fait pour rien... "C'est une force de ne pas pleurer, mais s'en est une autre de le faire..." Dans l'un ou l'autre des cas, je ne suis pas très malin...Enfin bon... J'aime pas que le monde s'inquiète... Inquiètez-vous pas... C'est juste que des boutes, le Gilles qui saute partout avec ses airs de petits enfants est fatigué de jouer à l'innocence... De faire semblant qu'il comprend pas des trucs qu'il comprend et de faire semblant qu'il comprend ceux qu'il ne comprend pas réellement...Ça devient très confu à la fin...Enfin bon... J'aime pas non plus quand le monde vient me voir en disant : "Est-ce que c'est ça que tu as voulu dire sur ton blog?" Alors ne venez pas me demander: "Est-ce que c'est ça que tu as voulu dire sur ton blog?"Parce que assurément que c'est ça... Mais...Ya des moments dans la vie où on voudrait parler, mais on parle pas...Ya des moments dans la vie où on voudrait pleurer, mais où on pleure pas...Ya des moments dans la vie où on voudrait mentir, mais on ment pas...Mentir aux autres, mais on leur ment pas...Se mentir à nous-même, mais on se ment pas... Parce qu'on peut pas... Parce que je peut pas..."La franchise ne consiste pas à dire tout ce que l'on pense, mais à penser tout ce que l'on dit..."Je veux rester franc...Peut-être que c'est pour ça qu'on parle pas... Parce qu'on veut rester franc... Peut-être que c'est pour ça qu'on pleure pas... Parce qu'on veut pas montrer qu'on voudrait parler...Peut-être que c'est pour ça qu'on se ment à la fin... Parce qu'on veut pas avoir raison de pleurer...Mais bon... Sûrement que je m'en fait pour rien... Sûrement que c'est ça... J'espère que c'est ça...Est-ce que c'est ça?...Si j'étais un mot : Espoir...

11.10.08

Hein!? =S

1hrs30mins... C'est pas si pire que ça...
Hen?

28.9.08

Oh wow!

Ca fait presque plus d'un mois que j'ai pris le temps d'ecrire un message blog! Pourtant... J'ai pas grand chose de profond a dire...
Juste l'incessant, je vous aime tous et je suis heureux d'etre avec vous!

22.8.08

Chapitre 5 : Roule-roule, la machine à savon...

Tout d'abord, je dois expliquer. J'ai décidé que ça serait le 5eme chapitre parce que j'ai pas vraiment fais le compte des premiers et que ça me tentait pas de les diviser. Donc imaginez que vous avez déjà lu 4 chapitres et que celui-ci, ou plutôt celui que vous êtes en train de lire, est le 5eme. C'est clair? Bon, bah oui! Je sais bien que c'est pas compliqué à comprendre! Mais je voulais quand même vérifier!
Bon, alors je démarre donc... Nous sommes le 19. Je viens tout jsute de vous envoyer le mail du second extrait de mes journaux. Si, celui qui mentionne FCPF... C'est bien ce message @-mail là. Bon alors je disais donc que j'ai fait ça... dans une lavcerie automatique! L'histoire en fait, c'est qu'on avait un ratio linge-sale sur linge-propre trop important, alors on a décidé d'être hygiénique... Enfin bon... Et puis... Pendant que mon père gossais en ville pour trouver une place où coucher à Chamonix-Montblanc, ben moi je tappais des trailers de mon FCPF. En tout cas.
Ya pas vraiment eu d'aventure depuis hier... Il t avait des fêtard dans la rue devant notre hôtel cette nuit... La bagarre était proche un moment donné, mais sinon, rien. Rien à part avoir terminé les trois premiers tômes de Nora que je me suis acheté au Grand-Bornand et que je n'ai plus rien à lire autre que Dom Juan de Molière et Tristant et Iseult... Je survivrai, mais bon... Moche non?
En tout cas! Aujourd'hui, mon père et moi sommes monté à plus de 3 milles quatre cents mètres d'altitude sur l'aiguille du Midi... En téléphérique. Bah oui là! Croyiez-vous réellement que je serais monté une montagne 5 fois plus haute que celle que j'ai fait HIER? Bah c'est ça! Lol. Non, mais le but de notre ascencion (outre chercher des trucs à la boutique-souvenirs) était d'admirer le Mont Blanc en face... Soit une montagne de 4800quques m de haut. En tout cas. Évidemment, vous l'aurez deviné, rendu en haut c'était devenu brumeux... On a rien vu! Rique que la neige et de gros glaçons s'envoler! Parce que c'est moi qui vous le dis là! À 3000 quque dans les airs, ça gèle! Et le vent est fort! Ça l'aurait quand même pu être une potentielle quasi-aventure...

20.8.08

Oh-là-là!

L'été achève! L'automne arrive! Ça m'a tellement torchonné le coeur de voir du... ORANGE! Si! Si! Je le jure! L'automne arrive et ça m'a creusé un trou giga-ta dans mon estomac! Ça me fait tellement peur!
...
Et en même temps... Tellement du bien.

Ça me motonne quand même pourtant...

18.8.08

My Reasons?

I'm not a perfect person
There's many things I wish I didn't do
But I continue learning
I never meant to do those things to you
And so I have to say before I go
That I just want you to know

I've found out a reason for me
To change who I used to be
A reason to start over new
and the reason is you

I'm sorry that I hurt you
It's something I must live with everyday
And all the pain I put you through
I wish that I could take it all away
And be the one who catches all your tears
Thats why i need you to hear

I've found out a reason for me
To change who I used to be
A reason to start over new
and the reason is You

and the reason is You [x3]-> lol

I'm not a perfect person
I never meant to do those things to you
And so I have to say before I go
That I just want you to know

I've found out a reason for me
To change who I used to be
A reason to start over new
and the reason is you

I've found a reason to show
A side of me you didn't know
A reason for all that I do
And the reason is you...

10.8.08

Now or Never!

Aaargh! J'ai tellement tellement tellement tellement hâte! En plus ils nous chient Now or Never pour nous écoeurer d'avantage! Je peux pu attendre! High School Musical 3 s'en vient! Fini! Fini! Je suis un fan fini pis je peux plus patienter de le voir en salle! Drette au moment où il sort dans nos petits-moyen-grands cinémas québécois, je saute sur mon siège et l'écoute trois fois en une semaine!
''16, 16, 16 more minutes, gotta get it done...''
Waaaah! Allez voir! Allez-y! Courrez sur Youtube!

3.8.08

Aujourd'hui

Nah! Je dirai pas «Aujourd'hui est le premier jour du reste de ma vie» même si c'est vrai! Je voulais juste donner mon impression sur la journée d'aurjoud'hui! Je me suis levé à 5h40, mais du bon pied! C'était juste trop fou! J'avais tellement trop soif que dans mon rêve, j'étais dans un gros pélerinage vers le dépanneur pour m'acheter du jus! ^^'
Bref, j'ai pris deux grand verres de jus de pomme ce matin en me levant! Mouhaha!
Next thing I know.... Techno in my house! Mamie est partie travailler = Musique patout patout dans la maison, ainsi j'ai découvert «The Spirit of the Hawk» de Rednex (Cotton Eye Joe) ainsi que différents techno! (Vive Youtube!)
Alors voilè! Ze suis de bonne humeur pis j'aime ça le dire quand je le suis! (Pas pire fou pareil non?!) Mouhaha!
Donc voilà! AUjourd'hui, j'envisage une belle journée en gros principe, avec une grosse surprise... Je sais pas pourquoi, je m'attend vraiment à me faire surprendre! Je vous conterai si j'ai été déçu ou pas! Niak Niak!

Ah! Pour le prochain simili-chapitre de mon FCPF, ça devrait venir bientôt... Ça me prend plus de moral que je ne l'aurais cru de tout retranscrire! Mouhahaha!

Bon alors voilà! Kiss tout le monde,
Moi-haha!

2.8.08

Ya des jours...

Ya des jours où je suis tellement juste trop heureux d'être heureux!
Ya des jours où je me marre tellement dont parce que je suis joyeux!
Ya des jours où je suis maussade ou triste...
Ya des jours où je suis fatigué...

Et ya des jours ou je réfléchi et vient à la conclusion que le monde fait les choses à l'envers pis que ça devient tellement à la mode que ça devient la masse et que ça laisse aucune chance à ceux qui veule faire ça traditionnelle et prendre leur temps.
Prendre le temps de savourer chaque instant et de découvrir, d'apprendre à connaître *avant* au lieu *d'après*...

BAM!
Kiss powpow
BAM!
Kiss powpow...

PS j'avais plus d'inspiration que ça dans ma réflexion, mais ça me tentais pas d'argumenter tout seul et de vulgariser tout mon point de vue...
Voilè.

28.7.08

''Facture 1''

Mouhaha! Comme je suis coquin! Je dois bien être le seul à parler de son voyage en France sur du papier-facture! Non, mais avouez que c'est cocasse! En plus j'ai un tout nouveau crayon vert! Je suis certain que vous ne l'auriez pas cru! Si! Si! Je reviens tout juste du magasin de souvenirs. J'ai acheté des cartes postales et tout ce qu'il faut pour vénérer un Dieu! (Remarque que celui-là, j'EN serai le gardien... Je ne voudrais pas qu'il lui arrive la même chose qu'à Notre-Dieu! Peu importe!) J'ai choisi le papier-facture parce que c'est drôle. Point. Bon, là vous allez dire : «Mais j'y vois rien, moi, c'est queudale» Lol (moi et mes expressions de faux-français). Donc je disais : la boutique souvenirs. Je suis pas mal sûr que vous allez lire ce carnet avant de recevoir vos cartes, mais bon. Ce sont les défaillances inter-continentales de la poste!
Mouhaha! Comme je suis coquin! Je dois bien être le seul à parler de son voyage en France sur du papier-facture! Non, mais avouez que c'est cocasse! En plus j'ai un tout nouveau crayon vert! Je suis certain que vous ne l'auriez pas cru! Si! Si! Je reviens tout juste du magasin de souvenirs. J'ai acheté des cartes postales et tout ce qu'il faut pour vénérer un Dieu! (Remarque que celui-là, j'EN serai le gardien... Je ne voudrais pas qu'il lui arrive la même chose qu'à Notre-Dieu! Peu importe!) J'ai choisi le papier-facture parce que c'est drôle. Point. Bon, là vous allez dire : «Mais j'y vois rien, moi, c'est queudale» Lol (moi et mes expressions de faux-français). Donc je disais : la boutique souvenirs. Je suis pas mal sûr que vous allez lire ce carnet avant de recevoir vos cartes, mais bon. Ce sont les défaillances inter-continentales de la poste!
Ah! Je viens de comprendre comment ça fonctionne du papier-facture! Non, mais il faut me comprendre, c'est un innovation pour moi! Enfin donc, je reprend à la boutique souvenirs (j'y arriverai jamais) J'ai acheté pour à peu près 50euro de cossins. Dieu que c'est charmant! Bon alors voilà, j'ai pu rien à dire sur la boutique, parlons de voyage. On est à... Je sais pas en fait. On est dans les Hautes-Savoies quelque part... Dans les montagnes. Ici c'est genre un petit village de Noël pas de neige. XD Peu importe. Tantôt, moi et mon papou-chéri-d'amour-que-j'aime-tant, on s'en va monter le pic percé ou un truc du genre. Et oui! Ya genre une cabane en haut pis on couche là-dedans. Mais là ya un temps de cul fac on attend qu'il fasse un peu plus beau avant de monter...
(J'ai décidé que j'écrirais même sur le papier carbone... Niak niak!) Alors c'est ça, je suis pas sûr du comment que notre montée sur la montagne va aller, mais si vous lisez ça, sûrement que ça a bien été finalement. Sinon bah... La France et la Suisse c'est un peu comme au Québec... Excepté pour la bouffe... C'est à faire pleurer. Sûrement que Van D s'en souvient avec l'Italie, bah ici, c'est pareil! Le matin c'est juste du pain, du fromage et de la marmelade... (Heureusement, j'aime la marmelade.) Mais, c'est pas des toasts! Oh que non! Ici, ils ont pas l'air de connaître ça le pain à Sandwich Villlagio ou dans ce genre là! Vous savez la caricature du parisien avec sa baguette de pain sous le bras? Bah, c'est intense comme ça ici! Yen a partout! Ça grouille pire que des mouches!

Bon, c'est assez pour aujourd'hui, je suis fatigué de copier mon FCPF... À bientôt! ^^

26.7.08

Ça me tente pas...

Je sais pas s'il y a des gens qui attende les récits de mon FCPF, mais ça me tente pas pour le moment : Je suis fatigué. Vous allez devoir patienter.

Mic xx

PS All my loving, I send them all to you, mes amours.

25.7.08

''J'ai trouvé le secret du bonheur... Et c'est toi''

''Le secret du bonheur, c'est pas d'avoir une vie parfaite, mais de voir au delà de l'imperfection...''

Comme mentionné plus bas, ''Tout dépend de celui qui passe que l'on soit tombe ou trésor...''. La vie, c'est une attraction. Le Secret nous l'a révélé... Mais je crois avant tout que la vie est une perception. La vie c'est ce qu'on touche, ce qu'on voit, ce qu'on sent, ce qu'on goûte, ce qu'on entend et surtout ce qu'on ressent. La vie c'est une perception; une interprétation. ''Il n'en tient qu'à toi.'' Et c'est vrai. ''Je ne crois pas au destin...[...] je ne crois pas au hasard...''. ''Trouves ta voie'' parce qu'il y aura toujours ''La 1, la 2 ou la 3''...

C'est juste à toi de décider. Et si tu bloques un jour... Demandes toi:

''Combien de temps t'es resté là coudonc?''

24.7.08

Devant Latour-Eiffel

"Tout homme créer, sans le savoir, comme il respire, mais l'artiste se sent créer. Son acte engage tout son être. Sa peine bien-aimée le fortifie."

"Tout dépend de celui qui passe, que je sois tombe ou trésor, que je parle ou me taise. Il n'en tient qu'à toi. Ami, n'entres pas sans désir."

Source: Le monument suprafantasticool devant la Eiffel Toweure!

4.7.08

Une première page de journal...

Un nouveau jour. Ce journal ne débute pas comme les autres... Une première page de pensées ou de réflexions. Une narration continue, automatiquem étirée, pourtant, je serai contraint de m'arrêter. Pas parce que mon crayon va crever au bout de sa mine cette fois, mais plutôt parce que je commence à travailler dans quelques minutes.
Je pense fort à vous, mon frère, ma soeur et à la femme de ma vie... Je pense fort à une autre...
L'été est différent et les journaux le seront aussi. Je dois débuter avec la déclaration. Oui. LA déclaration...
Je me sens changé. C'est tout. Avec les évènements d'hier, le premier juillet deux-milles-huit, je connais la véritable signification du mot intense. INTENSE.

Intense, c'est quatre blessés. Une bagarre entre une trentaine de personnes d'ethnies différentes. Des bouteilles de verre en éclats sur leur chaire et leur peau. Intense, c'est du sang et des gens qui courent partout. Intense, c'est au minimum trois sauveteurs par victime, trois ambulances et trois voitures de police. Intense, c'est de ne pas savoir quoi faire pour intervenir dans tout ça.

J'ai fini par trouver quelque chose un moment donné. J'ai joué, pour un moment du moins, le rôle de l'approvisionnement. «Des bouteilles d'eau! Vite!» Hop là! Je suis déjà parti et de retour du restaurant avec des gourdes plein les bras. Plus tard, j'essayait de transmettre les informations... Ou de veiller sur le reste des baigneurs.

(Trève hors-journal: Je dois dire dans tout ça que j'admire INTENSÉMENT les sauveteurs qui étaient là, qui ont intervenu. Ces sauveteurs avec qui je travaille et qui sont maintenant mes amis. Sans se poser de questions, on a tous un peu oublié qui nous étions. Nous n'étions plus que Sauveteur. Plus que partenaire. Nous n'avions plus nos craintes nos forces ou nos faiblesses. Personne, incluant tous les départements auraient pu faire mieux que ce qu'il a déjà fait. Et un bravo-merci INTENSE à ma boss. Je t'admire. Et il n'existe personne sur cette Terre qui aurait pu faire mieux que ce que tu as fait. Je sais très bien qu'elle n'aura jamais le message, mais c'est vraiment l'une de mes idoles alors je me dois de tout avouer... Félicitation.)

Voilà ce qu'est l'Intensité selon moi. L'émotion trop forte pendant un moment. Ça fait larmer quand ça vide, tout, d'un coup. J'admet ici avoir pleuré. Mais pas parce que j'ai eu peur ou parce que ça a été un choc. Je suis parfaitement bien! J'ai pleurer parce que j'ai été ému... Parce que je me suis laissé submergé, couler... Je me suis laissé noyer. Noyer dans une adrénaline... Noyé dans mon soulagement... Noyé dans mon amour de la vie après toutes ces péripéties... Parce que c'est ça l'Intensité. C'est de se laissé noyer dans chacune des choses que l'ont vit. Les choses prévues... Tout comme les bévues.

30.6.08

Avis au(x) concerné(e)(s)(es)...

Je suis venu à Valley! Si! Si! MarcO, Ari, Gus et moi-même avons fait du vélo jusqu'à Coteau du Lac... Si! Si! J'étais là! Mais je ne peux plus attendre pour jeudi!

Je dois aussi anoncer que je vais, aujourd'hui, commencer le journal! C'est bien triste, mais je l'avais oublié chez nous! Alors là je vais devoir écrire un GROS prologue sur tout ce qu'il s'est passé depuis le début jusqu'à aujourd'hui!

Sans compter que je veux me souvenir à vie de mon initiation... Comme c'est comique ces trucs-là! Moi je dis qu'il n'y en a pas assez dans le monde! Pour vrai de vrai là!

Sinon, je m'en retourne à Saint-Zotique dans quelques minutes, vous pouvez (vous tous, chers lecteurs) me rejoindre assez facilement pas Windows Live Messenger ou en core par Windows Live Hotmail!

Encore mieux! Un coup de téléphone! (Mais je ne laisserai pas mon numéro sur le réseau!)

Qu'y a-t-il d'autre à dire?

Rien pour le moment je crois! Alors voilà! Je répand la bonne nouvelle et je vous laisse!

Ciao-Bise!

29.6.08

La noyée...

J'ai découvert que ça pouvait être beau de se noyer...

De se noyer en amour, de se noyer dans la musique, dans la chanson...

Se noyer ça veut dire de se laisser submerger...

Ça peut être beau de se noyer... Non?

25.6.08

Nope!

Finalement j'était dans le champs... Je me souviens avoir ramassé des déchets avant et après la baignade et d'avoir ramassé beaucoup... Beaucoup de cailloux... Mais c'était quand même pas si pire! L'après-midi j'ai fait un peu plus de chaise et c'était bien! J'aime ça moi la surveillance! Sinon, j'ai découvert, hier, que j'adorais surveiller sur la glissade dans l'eau!

C'est pour ça que j'ai passé toute mon après-midi aujourd'hui à surveiller sur la glissade! C'est fou non? Mais c'est quand même chou! On a un contact direct avec les jeunes du camp de jours, ses animateurs et des autres groupes de clients!

J'ai passé une belle journée... Et puis je me suis rendu compte que c'était chouette d'ouvrir la plage le matin... J'étais l'un des deux sauveteurs qui organisaient tout et j'ai bien aimé ça!

Ouhlà! Je sens encore les remous des vagues sous la glissade!

24.6.08

Saint-Jean!

Mais non! Malgré que je vous souhaite tous une merveilleuse Saint-Jean Baptiste, je ne parlerai pas de la fête des québécois, mais plutôt de la journée que j'envisage! En effet! C'est la Saint-Jean, tout le monde (sauf moi) est en congé, il fait beau et chaud... C'est clair qu'il y aura des baigneurs par miliers à la plage! Donc ça sera pour moi une journée très occupée!

Je rentre au travail à 10hrs aujourd'hui! Ça c'est chouette, parce que ceux qui entrent à 8 et 9hrs ont déjà : ramassé les roches dans l'eau, fait le pique-papier (ramassage de déchet) sur le sable, planté les boués torpilles, accrocher la planche dorsale, mis le moteur sur la chaloupe, placé les mégaphone sur les chaises, tiré la table de premier soin en dehors de la cabane, nettoyer les filtreurs et les réservoirs à la piscine, fait les test de chlore de la patau, enlevé les pancartes «Zone Fermée, Baignade Interdite», ramassé les crottes de mouettes, pris la température de l'air et de l'eau en note et les marquer sur le grand tableau!

Donc, quand moi je vais arriver, je vais m'asseoir et siffler! C'est tu pas fou? N'empêche que... C'est moi et quelques autres qui vont «Fermer» la plage... Si elle ferme vraiment! Je me pose la question parce que c'est la Saint-Jean et que je n'ai aucune idée de l'heure à laquelle la plage va closer!

Un jour je parlerai du staff! Je pense fort à vous!

23.6.08

Amélie Poulain

Je pleure toujours de joie quand elle prend le bras de l'aveugle... (C'est définitivement mon bout préféré)... Je trouve que le film goûte léger... Un peu comme une fraise moelleuse ou une sandwich aux bananes sucrée... Ça fait tout chaud en dedans et ça illumine... Vraiment là, c'est chouette! On peut pas vraiment décrire le film... Parce que... De l'expliquer à quelqu'un qui ne l'a jamais vu c'est comme de décrire des couleurs à un aveugle de naissance ou d'expliquer la nature des sons à un sourd...

Bisou tout le monde, je vous adore!

22.6.08

Croyez-vous aux miracles?

Il ne faut pas attendre les miracles, mais les faire par nous-même...

21.6.08

19.6.08

Niak Niak

Je m'ennuie du temps ou tout ce que je faisait à part d'être à l'école ou devant la télé et mes jeux vidéos était d'être épris dans d'interminable aventures fantastiques, fictives et épiques qui nous mettaient, mon petit Alex et moi, en vedette pendant de longues semaines de bataille, de négociation, de troc et d'échange... Je m'ennuie de ces mondes que nous avons créés. Je m'ennuie des personnages à présent prisonnier en moi, comme s'ils étaient véritablement une part entière de moi-même.

Mais surtout, surtout j'ai hâte. Je l'ai toujours dit et je vais me répéter : Un jour, nous basculerons dans un univers parallèle dans lequel nous devrons combattre et étudier (entre autre la magie) pour frayer notre chemin et redresser l'humanité pour épargner à la race humaine de courir à sa destruction comme aujourd'hui.

~Ce n'est pas être un enfant que de vivre dans l'imaginaire...~
Josée St-Onge

Probablement que Peter Pan n'était déjà plus un enfant... Parce qu'au fond, l'imaginaire, c'est la réalité...

18.6.08

Et puis oublier tout...

Parce que j'ai toujours tort...

Voilà pourquoi...

Je savais pas pourquoi je voulais des yeux qui voient vrais. Maintenant je sais. Je voudrais me défaire de tout ce que j'ai. Tout recommencer et ne pas me laisser reprendre dans une illusion pénible comme ici. Je voudrais que mon père ne soit pas si loin. Je voudrais que ça se passe pas comme ça à la maison. Je voudrais ne pas être seul comme je le suis. Et là personne va me croire je suppose... La vérité c'est que j'ai mal, on me casse la vie de partout, pas juste pour une telle ou une telle raison. J'en ai marre d'être seul au monde. Parce que même si je vous ai tous, j'ai pas d'épaule. Je dois brailler tout seul, en silence... Et puis c'est épuisant à la fin...

J'ai pas le droit d'aimer à cause de moi, j'ai pas le droit d'aimer à cause des autres, j'ai pas le droit d'être pour ou contre une telle problématique. J'ai pas le droit de dire ce que je sais, j'ai pas le droit de passer pour un ignorant, j'ai pas le droit de partager ma vie en entier et j'ai pas le droit rester ici ni de m'en aller...

Alors je me sens coupable. Coupable d'aimer à cause de moi, coupable d'aimer à cause des autres, coupable de m'affirmer dans un débat, coupable de dire ce que je sais, coupable de dire ce que je sens, coupable de passer pour un imbécile, coupable de rester ici et coupable de partir. C'est compliqué. Quand je dis que ça va... Ça va jamais. Il faut que je mette bien des choses de côté, puis je dois payer pour tout plus tard.

Et quand je me dis que ma vie est difficile, je m'en veux à mort, parce que je sais bien, qu'au fond, il y a rien là. Et puis je me reprend vite en me disant que c'est juste parce que je suis confu, que c'est de ma faute ou de quoi du genre. C'est vrai au fond, pas foutu de mettre les criss de vidanges... Je dois être un fils indigne...

Et puis l'amour... Le sexe, on s'en criss-tu? Je sais pas, ça doit être moi qui est mongole, ou ben je suis pas rendu là. Tout ce qu'il me faut, moi, pour le moment, c'est une épaule, des bras. N'importe qui pour m'enlacer, me réchauffer et me dire qu'on me comprend. On s'en fou de mon sexe... On s'en fou du sien, non? Des bras... Juste des bras. Une épaule serait quand même mieux pour brailler plutôt qu'un lit vide, froid et sans compassion.

Mais je sais bien que je rêve en couleur. Personne ne me comprendra jamais. Simplement parce que je parle pas... Parce que j'ai pas le droit de parler... Parce que c'est compliqué à gérer... Et là j'ai lair du petit gars suicidaire. Celui qui voit pire partout et que tout le monde le regarde en disant "s'il savait à quel point il est chanceux"... Je sais bien... Probablement que j'ai tort de croire que c'est difficile, peut-être bien...

Mais j'aurais quand même espéré que ça soit un peu différent...

8.6.08

Parce que par intuition...

Intuition... C'est bien le bon mot? Il ne me manque pas de syllabe... Et puis c'est bien ce que je voulais dire... Intuition a bel et bien la bonne signification aussi... Intuition... C'est le mot qui m'est venu en tête par une merveilleuse soirée d'un chaud juin.

Intuition... C'est ça qui m'a guider pendant une longue et belle marche de quatre heures et quart pendant que l'aventure du massacre se répétait quelque part, ailleurs de Valleyfiel"d". J'ai passer devant Don Proctor, Daudely, Vanette et Turquoise, mais tous semblait perdu dans l'obscurité. J'ai traduit leur silence par leur absence et je poursuivis mon chemin selon mon instinct... Ou mon destin? Peu importe...

Par ce poste peu pertinent, j'entend raconté une merveilleuse aventure subtile pour que je puisse m'en souvenir.

Mon intuition, après avoir longtemps remonté les rails aurorales, m'a mené jusqu'au bord de l'eau où je partageais sans être vu l'esprit léger du bon printemps. Et puis, sans que je m'en rende compte, je m'étais ajouter à une longue file à la crèmerie. À moitié dans la rue, les clients du Dairy Queen lèchaient leurs rafraîchissant trésor...

Jusque là toujours intuitif, j'attendais avec une douce impatience qu'on prenne ma commande... Toutefois une belle surprise m'attendais.

Un parfait inconnu.

Sans qu'on ne se connaisse, on a prit le temps de jaser, en attendant, à propos de tout et de rien. J'ai trouver rassurant qu'il y ait encore des gens veillants "en général dans la vie". Une fois mon "Grand Flotteur à la Fraise" en main, on a fait un bout de chemin ensemble, tout deux sachant, pertinemment, que nos chemins s'écarteraient l'un de l'autre bientôt.

Pourtant, je ne pu retenir un "à bientôt" lorsque nous nous sommes séparés. Je me suis tristement repris avec un "ou plutôt à la prochaine", mais je me suis demandé pourquoi j'aurais laisser échapper avec autant de conviction ce premier énoncé...

Je rejoint plus tard, grâce aux bons conseils du parfait inconnu, le relais pour la vie.

En réponse au commentaire de "Celle qui vit de l'autre côtés des pages", j'étais tout-à-fait sincère. Je prend la peine de le préciser ici, en plein milieu d'un poste, parce que sans ce merveilleux et court message qu'elle a posté je n'aurais jamais trouver aussi beau ce que j'ai vu.

À l'entrée du stationnement, quelques bénévoles attendaient que quelques gens entrent sur leur "site". Par intuition, j'ai su que j'avais l'air bizarre avec mon "Est-ce qu'il est trop tard pour aller faire quelques tours de pistes?" avec un flotteur à la fraise et un air tout-à-fait "lonely". Pourtant, son "Vous pouvez aller rejoindre les autres et marcher avec eux, il n'y a aucun problème", s'est quand même fait rassurant.

Puis, par intuition, j'ai su que j'avais l'air étrange en partant, à la Mademoiselle C, en direction des lampions encore éteints. Je ne me prononçai pas trop au départ. Je regardais, invisible, les bénévoles avec des yeux "merci" et je partais vers un autre. J'étais, à ce moment-là, entre la recherche de compagnie et la recherche de solitude.

J'entrepris un premier tour tout d'abord très silencieusement. Et il y avait cette chanson que je ne connaitrai jamais le titre... Le silence était en moi, le silence me possèdait. Pour la première fois dans ma vie, je m'étais tu, corps et âmes, paroles et pensées.

Le silence.

Par intuition, j'ai sentie que je ne réfléchissait plus. Ma tête était close, mon coeur était allumé. C'est tout ce qui comptait. Et puis j'ai pleuré. J'ai pleurer chaud. J'ai pleurer doux. J'ai pleuré vide et plein. J'ai pleurer dans mon flotteur, j'ai pleurer sur mes pieds brûlés, j'ai pleuré comme je n'avais jamais pleuré. J'ai déjà pleuré plus que ça, mais jamais ça n'avait été vibrant comme ça.

Pleurer. Silence. Intuition...

Je savais que j'aurais trouver des gens... J'abandonnai la solitude et essuyai mes larmes en voyant ces deux amours, puis l'autre qui vint nous rejoindre. Ensemble, on a passé une belle soirée...

Puis... Dodo...

Réveil...

Tout est à recommencer, mais avec une frustration nouvelle, plus intense, plus sévère, plus violente, plus persistente. Une épreuve?

Je ne sais plus... Le soir de la veille, j'ai perdu l'intuition...

4.6.08

Un bel avenir?

Ah làlà...

C'est une véritable épreuve que je vais surmonter, parce que c'est vraiment difficile pour moi de l'admettre... Mais... Je suis une personne gênée! Et oui, je suis une personne timide. Ça paraît pas tant que ça hein? Je fais le fou, le niais, l'imbécile parfois... J'embarque dans les mini-jeux qu'on se fait en gang... Je suis dépogné, oui... Mais je suis aussi gêné.
Combien de fois m'avez-vous entendu parler de moi-même? (Des milliers de fois sûrement...) Je sais bon... Et si je vous demandais, combien de fois m'avez-vous entendu parler de ce que je pense? De ce que je ressens? Je suis certain que j'en déçoit (au moins) un à qui je devrais parler de toutes ces choses-là, mais je suis juste incapable...

Saches-le à présent, ce n'est pas parce que je ne veux pas parler de ces trucs-là avec toi, c'est juste que je n'y arrive pas...

Maintenant je vais parler de moi, de ce que je pense, à l'abstrait, comme à mon habitude... Ou peut-être pas... Au risque d'en choquer un ou une... Au risque d'en satisfaire un ou une autre... J'essayerai, pour cette fois au moins, de me libérer de mes propres chaînes et de mettre de côté mes peurs...

Je me vois mal dans l'avenir. En fait, je ne me vois pas tout court. Je me vois avec tout plein d'amis. Toutefois je ne me vois pas dans une maison ou un appartement. Je ne me vois pas avec un emploi stable. Je ne me vois pas refaire les mêmes tâches à chaque jour. Je ne me vois pas dans le modèle de "voici ma femme, mes enfants, mon chien, ma maison, la voiture..."
Je ne me sens pas à ma place dans la vie. Je ne me sens pas digne.

À mes yeux, tout le monde est indispensable, tout le monde est exceptionnel. Pourtant, à mes yeux encore, j'ai toujours l'impression qu'il n'y aurait aucune différence dans ce beau monde si je n'était pas né. Je n'ai pas l'impression d'avoir laissé ma marque et je n'ai pas l'impression que je la laisserai. Il y a quelques personnes dont je connais réellement le lien qui me rattache à eux et à ces trois personnes, merci beaucoup, je crois que deux d'entre eux au moins se reconnaîtrons.

Je vous aime tous, il n'y a aucun doute la dessus. Cependant certaines peurs me font bloquer à des endroits où tous passe sans soucie, sans épreuve... Je me sens seul dans moi-même. Ma tête est un vaste espace vide, pourtant la pression y est si haute.

Je suis heureux dans la vie. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir là-dessus.

Ce qui m'inquiète, moi, c'est de bientôt aboutir dans un monde de grands. Je veux dire qu'est-ce que je ferais là-dedans? Qu'est-ce que Micaël Latour aurait à faire affaire là-dedans? Un monde de grands... Je suis grand, on me le dis assez souvent, mais dans quel sens? Pas celui que ça prend... Je le crain.

(Pardonnez les fautes d'orthographe, je sais bien que j'en ai plusieurs...)

Enfin... Je vous aime... Et vous remerci tous cette fois-ci... À bientôt surtout...

27.5.08

Ça me tue!

Aaaargh!

Comment expliquer? C'est comme s'il y en avait trop d'un coup... Que ça faisait :

*silence*, *silence*, *silence*, *ZWOOOOOOOOOOOOSH-KAPAOO*...

24.5.08

Bref, moi aussi je trompe mon Skyblog...

C'est avec ce nouveau blog que je prend les armes de mon propre monde et que je déchire la barrière entre le réalisme et l'irréel pour moi-même cette fois-ci. Si avant je vous donnais la chance d'apprendre à me connaître, aujourd'hui je me donne la chance de me faire connaître. C'est presque la même chose, mais notez que la perception n'est pas la même...

C'est une continuation en perpétuité et une extansion indélébile de mon ancien espace sur le réseau.

Bref, moi aussi, je trompe mon Skyblog...